Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
La France qui samba
La France qui samba
Publicité
Archives
La France qui samba
Newsletter
Visiteurs
Depuis la création 120 032
26 mars 2012

Tristeza do sambista - Geraldo Filme

Tristeza do sambista  (Osvaldo Arouche e Walter Pinho)


Felicidade hoje é fantasia
e o povo canta mesmo sem saber
que a favela virou poesia
na boca de quem nunca soube o que é sofrer

Quando sopra o vento
no mês de Fevereiro
a nega me pergunta "o que fazer?"
O Zinco tremulando é um pesadelo
só rezo e peço a Deus para nos proteger

Felicidade hoje é fantasia
e o povo canta mesmo sem saber
que a favela virou poesia
na boca de quem nunca soube o que é sofrer

Todos cantam todos falam
mas esquecem o principal
a tristeza do sambista
é não ter no carnaval
Sua própria fantasia
e um barraco em condição
para não ver a realidade
no desfile da ilusão.


geraldo filme tristeza do sambista

Geraldo Filme est né deux fois!La "première fois" en 1927 à São Paulo mais, comme il fut déclaré plus tard par ses parents,il est né officiellement en 1928 à São João da Boa Vista(SP) et il est décédé le 05 janvier 1995.
C'était un interprète et compositeur qui fut influencé par les chants des esclaves que lui chantait sa grand-mère.
A 10 ans,il composait sa première samba car son père lui disait toujours que,à São Paulo,il n'y avait pas de samba de qualité comme à Rio de Janeiro.
Geraldo a joué un rôle important dans l'existence du carnaval Paulista en particulier dans son école de samba"Vai-Vai" du quartier traditionnel de Bexiga(ou Bixiga) de São Paulo.


Tristesse du sambiste   (Osvaldo Arouche e Walter Pinho)

Le bonheur est un déguisement
et le peuple chante sans même savoir
que la favela est devenue poésie
dans la bouche de celui qui n'a jamais su ce qu'est souffrir.

Quand souffle le vent,
au mois de février
ma bien-aimée me demande"qu'allons nous faire"?
la cabane tremblotante est un cauchemar,
je prie et je demande seulement à Dieu de nous protéger.


Le bonheur est un déguisement
et le peuple chante sans même savoir
que la favela est devenue poésie
dans la bouche de celui qui n'a jamais su ce qu'est souffrir.

Tous chantent,tous parlent
mais ils ont oublié le principal:
la tristesse du sambiste
est de ne pas avoir pour le carnaval
son propre déguisement
et une baraque en bon état
pour ne pas voir la réalité
pendant le défilé de l'illusion.

Pour voir et écouter:

Pour télécharger:

http://www.mediafire.com/?2vwy0xs4yh4khyc

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité